Plus disponible / No more available ! Masque Satimbe 106 cm DOGON Mask Mali Provenance d'une ethnologue française FB006
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IMPRESSIONNANT MASQUE SATIMBE DOGON
Parmi eux, le masque Satimbe, ou « Dame supérieure », ou encore « Sœur des masques ». Celui-ci par sa taille et sa sculpture est très rare. Il est surmonté d’une belle statuette de jeune fille figurant la première femme qui fut consacrée comme yasigine
Ce remarquable masque est lourd, très délicat à porter, même pour une danseur expérimenté. Ce masque a le sens de la perfection dans le respect du mythe de la yasigine. C’est une émotion esthétique de la création.
La yasigine fut la première femme à trouver les fibres et reçut comme insigne une ceinture de cauris et une calebasse à long manche. Sa naissance doit avoir lieu pendant les fêtes ou pendant les trois mois précédents : elle doit être la fille de yasigine (mais n’obtiendra ce titre qu’à la mort de celle-ci), et, de plus, avoir été désignée par le Conseil des vieillards (en fait décelée par la divination).
Pour être intronisée, la yasigine fait l’offrande d’une barre de sel d’une coudée, dix jarres de bières, trois paniers de sésame, trois de tabac, un de condiments. Elle doit préparer l’huile de sésame destinée aux rituels.
La calebasse rituelle de la yasigine est cueillie par sa famille au moment du Sigui. Elle est la seule femme à pouvoir approcher les danseurs et à participer aux fêtes initiatiques.
PROVENANCE:
Ce masque, ainsi que d'autres objets, a été récolté par Eliane Prévost, ethnologue française ayant séjourné chez les Dogon et écrit différents ouvrages aux Editions L'Harmattan.
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Les pièces sont accompagnées d'une documentation qui atteste par des photos et descriptions de l'origine des objets (une copie sera remise à l'acquéreur)
Caractéristiques:
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- Guide des croyances et symboles: Afrique : Bambara, Dogon, Peul, Isabel de Courtilles avec la contribution de Liliane Prevost, 2005
- Dogon, Images et Traditions, par Huib Blom
IMPRESSIVE DOGON SATIMBE MASK
Among them, the mask Satimbe, or "Lady Superior", or "Sister of the masks". This one e is very rare, by its size and its sculptur. It is surmounted by a beautiful girl statuette depicting the first woman who was consecrated as "yasigine"
This remarkable mask is heavy, very delicate to wear, even for an experienced dancer. This mask has a sense of perfection in respect of the myth of yasigine. It is an aesthetic emotion of creation.
Yasigin was the first woman to find the fibers and received as insignia a cowrie belt and a long-handled calabash. Its birth must take place during the festivals or during the three preceding months: it must be the daughter of yasigine (but will obtain this title only at the death of this one), and, in addition, to have been designated by the Council of old men (actually detected by divination).
To be enthroned, yasigine makes the offering of a bar of salt, ten jars of beer, three baskets of sesame, three of tobacco, one of condiments. She must prepare the sesame oil for rituals.
The ritual calabash of yasigine is gathered by his family at the time of Sigui. She is the only woman who can approach the dancers and participate in the initiation festivities.
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The pieces are accompanied by documentation that certifies with photos and descriptions of the origin of the objects (a copy will be given to the purchaser)